OnceUpon a Time in Hollywood Bande-annonce VF Once Upon a Time in Hollywood Bande-annonce VO Once Upon a Time in Hollywood Bande-annonce (4) VF Once Upon a Time in Hollywood Bande-annonce (4) VO . Accueil; À l'affiche; Horaires; Prochainement; Évènements; Galerie Photos; Le Cinéma ; CE; Infos; Politique de Labande-annonce de part son montage rappelle beaucoup Pulp Fiction, tout comme le duo Pitt-DiCaprio qui fait penser au duo Jackson-Travolta. Bref, ça sent bon et vivement le 14 août prochain ! Once Upon A Time In Hollywood – Bande-annonce VF OnceUpon a Time in Hollywood sort le 14 août 2019. Once Upon A Time in Hollywood – Bande annonce teaser VF. Once Upon A Time in Hollywood – Bande annonce teaser VOST. Crédit ©Sony Fast Money. Realizador Quentin Tarantino Duração 2 horas 42 minutos Género Comédia, Drama e ficção, Thriller Idioma Inglês Era Uma Vez em… Hollywood 14 August 2019 12K membros In this town, it can all change… like that Los Angeles EUA. O ano é 1969. Rick Dalton é um actor de “westerns” televisivos que, juntamente com o seu duplo e amigo de longa data Cliff Booth, chega a Hollywood determinado a reavivar a sua carreira. Ali, os seus destinos vão cruzar-se com personagens que marcaram uma época. Entre elas está a jovem Sharon Tate, na altura grávida do cineasta Roman Polanski; e Charles Manson, cujos crimes cometidos por si e pelos seus seguidores chocaram o mundo, mudaram costumes e deram o mote ao fim do movimento “hippie”. Elenco 24 Comentários 50 J'ai adoré, oui c'est spécial et un peu lent mais alors qu'est-ce que c'est bon cette mise en place progressive des protagonistes, jusqu'à la scène finale ! Ça c'est du Tarentino ! On se demande toujours à quel moment ça va partir en c... Et bien là je n'ai pas été déçue sur cette scène finale. Plus que violente, je dirais même gore. Mais les acteurs sont géniaux. Magnifique duo Pitt/DiCaprio. L'image du film est superbe. A voir ! elvirajolie 20 september 2021 Je comprends pourquoi certains ne l'ont pas du tout aimé. Il est très contemplatif. Mais j'adore les US des années 60 donc j'ai vraiment kiffé ce film! Les acteurs sont géniaux, l'image est magnifique, l'immersion est parfaite et la fin est délirante. Le film est d’un ennui, le dernier quart d’heure rattrape le tout. Pas nécessaire à regarder mais bon s’il passe un jour à la télé regardez le quoi ça fait passer le temps ! Une bonne réinterprétation de l’histoire de la famille Manson ceci dit avec une conclusion différente Neymo_HTD 6 december 2020 Alors comment dire, je n’ai pas apprécié du tout. J’étais allé le voir au cinéma, j’ai cru que j’allais quitter la séance ... Lent, long et inintéressant ... J’ai même faillit rater le restaurant à cause de ce navet ... skiffanselme 13 november 2020 Il était une fois... une histoire. Ouaip, ce film raconte une histoire. Pas ouf, mais avec tout de même des scènes intéressantes les hippies, les tournages de film, les péripéties du cascadeur, le combat à la fin aidé par le chien.. wow !^^. La bande son est aussi vraiment bien, les prises sont soignées et le jeu d'acteur réussi ça doit représenter 80% du budget du film nan ? p . Bref, ça se regarde vite fait et ça s'apprécie malgré quelques lenteurs au début. Skipwoof 23 september 2020 Aucun doute que Tarantino a pris énormément de plaisir à tourner ce film. Dommage que j’ai pris absolument aucun plaisir à le regarder... Not a usual Tarantino... but a good one! kristofmarton 30 may 2020 Je n'ai pas du tout aimé. Quelle déception venant de Tarantino. Le film est creux, long, lent,. Les personnages sont vides. On a même l'impression que les acteurs n'y croient pas non plus. J'ai été jusqu'au bout mais il a fallut que je me fasse violence. Quel voyage dans le temps avec ce dernier film de Quentin Tarantino! Très différent de ses autres films, comme un retour en enfance de sa part, on découvre un Hollywood comme jamais on aurait imaginé. D'une simplicité déconcertante, le réalisateur arrive à nous faire passer un moment certes calme, différent de tous ces autres films, mais très intéressant et palpitant malgré tout ! La fin est délirante, burlesque, énorme.. enfin c'est du Tarantino il nous surprend toujours et se réinvente dans ce film ! Le dernier quart d'heure vaut bien les 2h le précédant à se faire un p'tit peu chier. M'enfin grâce à Pitt et Di Caprio ça passe bien tout de même. On sent que Tarentino s’est bien fait plaisir avec ce film. Multiples références cinématographiques américaines comme il les aime et cette conclusion wtf qui prend à contre pied, surtout qu’il avait bien pris soin de déposer tous les ingrédients qui auraient du conduire à la vraie fin. C’est sur que ça ne va pas plaire à tout le monde ! DiCaprio et Pitt sont excellents, bien dans leurs rôles sans en faire des caisses... Bof pas un des meilleurs films de la décennie... Un des tarantino les moins intéressants malgré le casting. On se fout globalement de l'histoire..Et l histoire avec la manson family est vraiment chelou dans sa conclusion. Tarantino c’est décidément pas ma came !!! Même porté par deux acteurs que j’aime beaucoup c’est juste un loooong buddy-movie sans vraiment de distance ! Je me demande ce que Polanski a pensé s’il l’a vu de ce que Tarantino a fait du drame innommable que Manson et sa famille » leur ont fait subir 😕... moi j’ai pas aimé ! Oceanic815 8 february 2020 Il ne plaira pas à tout le monde mais j’ai bien aimé. woodcutter 19 january 2020 Du Tarantino pour les fans... Un film finalement plein de vide qui se contente de débiter les références. Les derniers instants pourtant les plus intéressants sont les plus creux puisque totalement et artificiellement inclus dans l'histoire. Ca a le mérite de nous faire comprendre que l'histoire de ce film ne se déroule que dans l'esprit tortueux de Tarantino, et c'est tant mieux ! Les 30 dernières minutes sont bien sinon le reste bof... Le personnage de Margot est pas vraiment utile ou alors j'ai loupé un truc YODACHNIKOV 5 january 2020 la dernière demi-heure est bien fichu. Le reste du film est juste inutile. En gros, si vous voulez vous épargner 2h40 de longueurs, vous pouvez passer une bonne soirée en commençant le visionnage du filmà partir de 2h00. Filmes semelhantes 6 Quentin Tarantino poursuivi par Miramax sur "Pulp Fiction" en NFT Le réalisateur américain est visé par une plainte des studios après avoir annoncé vouloir vendre des extraits inédits du film en NFT. Par Athena Rivas avec AFP NFT 7 scènes inédites de "Pulp Fiction" bientôt mises aux enchères Ces scènes coupées du film de Quentin Tarantino vont être proposées sous la forme de NFT. Seuls leurs acquéreurs pourront, théoriquement, les visionner. 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Par Marine Chassagnon Le neuvième film événement du réalisateur américain est une ode à des années 60 dans lequel Tarantino joue avec le passéisme de façon volontairement ambigüe et perverse Les vrais paradis sont les paradis qu’on a perdus ». Cette phrase de Proust, dans Le temps retrouvé, Quentin Tarantino la fait plus que jamais sienne dans Once Upon A Time in Hollywood. Conçu d’abord comme une lettre d’amour à une époque, à une ville, aux acteurs, aux pieds féminins, son neuvième film déploie, durant ses presque 2h40, une fresque à la fois ultra-ambitieuse dans ses moyens et néanmoins très simple dans son cheminement. On pouvait s’attendre, de la part du réalisateur de Pulp Fiction et Kill Bill, à une nouvelle fiction déconstruite, aux multiples ramifications spatio-temporelles ; c’est au contraire son film le plus linéaire et flegmatique, en dépit de quelques digressions et flash-backs opportuns, ainsi que d’une voix off qui, comme un chœur de tragédie, se charge d’annoncer le fatum. Si Once Upon A Time in America, le grand récit proustien du maître de QT, Sergio Leone, carburait à l’opium et au ressouvenir, cet Il était une fois se shoote plutôt au cannabis la drogue de LA, avec une pointe de LSD c’est en effet dans un pur présent qu’il se déploie ou plutôt un passé ramené au présent, avec un compteur précis de jours, et même d’heures, mais en l’étirant comme du chewing-gum. Pour faire durer le plaisir avant la fin inéluctable, pour profiter des derniers jours comme s’ils allaient durer toute la vie, pour retarder au maximum la chute du paradis. Tarantino, qui a toujours fonctionné selon ce principe d’écriture, le pousse ici à son paroxysme, non plus à l’échelle d’une scène mais de tout un film — rejoignant ainsi Inherent Vice de Paul Thomas Anderson, Mektoub My Love d’Abdelatif Kechiche ou Everybody Wants Some ! de Richard Linklater, dans leur tentative de capter une pointe temporelle dans son infinie brièveté. Jouir avant la perte de l’innocence Ce qu’il célèbre là, avant inventaire et fermeture définitive, c’est donc 1969, Los Angeles, et un certain rapport au monde. 69, c’est pour QT l’année des six ans, l’année du déclin définitif du vieil Hollywood au profit de la télévision et bientôt du nouvel Hollywood, l’année, enfin, où Sharon Tate fut massacrée, avec un fœtus de 8 mois dans le ventre et quatre de ses amis, par trois membres de la famille » de Charles Manson. Cet évènement, qui plane tel un spectre sur tout le film, bien que son exécution » n’en prendra qu’une petite partie, signe historiquement, aux Etats-Unis, la fin de l’innocence, du flower power et de l’utopie hippie, noyée dans un bain de sang. Mais, en attendant, semble indiquer Tarantino, il faut jouir. Le maestro se plaît ainsi à ne filmer là, que ce qui se trouve au cœur de son désir. Une pornographie de la reconstitution Des acteurs cabotinant d’abord Brad Pitt en cascadeur castagneur, mélancolique et nonchalant prenant l’avantage sur Leonardo Di Caprio, même si ce dernier excelle en acteur ringard de série B. La reconstitution d’un western kitsch dans lequel il joue, si elle impressionne par sa virtuosité, ennuie cependant quelque peu, par son manque d’enjeu. Là où Tarantino, en revanche, excelle, c’est dans l’accumulation gratuite et boulimique de détails. Il n’a au fond plus besoin d’une intrigue, la déambulation urbaine de deux sublimes losers, en train de tomber de leur piédestal, lui suffit. Costumes et accessoires vintage, voitures d’époque, vieux posters, musique soul et rock, enseignes disparues la plus belle scène n’étant composée que de néons clignotants, boites de pâté pour chien presque érotique… Il y a presque ici une pornographie de la reconstitution accompagnée d’une grande précision historique, qui pourrait virer à l’académisme si Tarantino ne regardait pas le monde, son monde, avec une intensité folle. Voir par exemple comme il filme Margot Robbie et ses pieds, absolument solaire et extatique, lorsqu’elle va au cinéma se mirer. Un film versatile dans son propos Reste la question politique, follement perverse. Par une foule de détails, parfois à la limite de la private joke — par exemple quand il fait dire à une hippie psychopathe que sa violence n’est qu’une saine réaction face à celle des écrans hollywoodiens —, Tarantino semble adresser un doigt d’honneur, accompagné d’un rire sardonique, à ses détracteurs. Plutôt que de s’excuser, il creuse ainsi son sillon, un peu à la manière de Lars Von Trier dans The House That Jack Built. Il joue carrément avec le feu lorsqu’il laisse entendre, sans le confirmer, que le personnage de Brad Pitt aurait pu se tirer d’un féminicide, sans autre conséquence pour lui qu’une mauvaise réputation sur les plateaux de tournage. Lui-même accusé, peu de temps après Metoo de maltraitances vis-à-vis de son égérie Uma Thurman sur le tournage de Kill Bill, il fait peut-être là une projection tordue. Et toute l’ambiguïté de ce soi-disant âge de l’innocence qu’il entend restaurer, de ce cristal de temps qu’il fait scintiller allègrement, finit par exploser dans le dernier acte, sauvage et sadique. Le film laisse un drôle de goût en bouche, tandis que demeure indécidable le degré d’ironie que porte le cinéaste sur la restauration des valeurs archaïques qu’il met en œuvre. ONCE UPON A TIME IN HOLLYWOOD de Quentin Tarantino – Compétiton officielle Avec Leonardo Di Caprio, Brad Pitt, Margot Robbie 2h39, 2019

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